Réinventées pour violoncelle et piano par deux artistes dont la réputation n’est plus à faire, ces Images oubliées peignent un portrait intemporel d’une légende musicale.
Par la combinaison de ces deux instruments, les atmosphères évoquées dans ces pièces se voient donc définies davantage. En transformant l’aspect « soliste » de ces œuvres en une conception pour deux instruments en dialogue, le langage des sons de Debussy résonne autrement, parfois plus intime, parfois plus grandiose, mais toujours dans l’intention de créer un lien marquant avec le public. Le pouvoir évocateur de ces compositions est donc inévitablement altéré, puisqu’elles racontent maintenant leur histoire mais aussi celle des deux musiciens qui les transmettent. À travers un concert singulier et thématique, le violoncelliste Stéphane Tétreault et le pianiste Olivier Hébert-Bouchard vous proposent une rétrospective tout en musique sur la vie de Claude Debussy!
Reinvented for cello and piano by two renowned artists, these Images oubliées paint a timeless portrait of a musical legend.
The combination of these two instruments further defines the atmospheres evoked in these pieces. By transforming the “solo” aspect of these works into a conception for two instruments in dialogue, Debussy’s language of sound resonates differently, sometimes more intimately, sometimes more grandly, but always with the intention of creating a striking link with the audience. The evocative power of these compositions is thus inevitably altered, as they now tell their own story, but also that of the two musicians who perform them. In a singular, thematic concert, cellist Stéphane Tétreault and pianist Olivier Hébert-Bouchard offer a musical retrospective on the life of Claude Debussy!
Programme
Claude Debussy (1862-1918)
Danse bohémienne, L. 9 (1880)
Nocturne et Scherzo, L. 26 (1882)
Mazurka, L. 67 (1889-90)
Tarantelle styrienne, L. 69 (1890)
Marche écossaise sur un thème populaire, L. 77 (1890)
Nocturne, L. 82 (1892)
Images oubliées, L. 87 (1894)
I. Lent (mélancolique et doux)
II. Souvenir du Louvre
III. Quelques aspects de « Nous n’irons plus au bois » parce qu’il fait un temps insupportable
ENTRACTE
Lindaraja, L. 103 (1901)
D’un cahier d’esquisses, L. 99 (1903-04)
Hommage à Haydn, L. 115 (1909)
Page d’album, L. 133 (1915)
Élégie, L. 138 (1915)
Sonate pour violoncelle et piano, L. 135 (1915)
l. Prologue
ll. Sérénade
lll. Finale
Les soirs illuminés par l’ardeur du charbon, L. 150 (1916-17)
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Ce contenu provient du Festival Classica et est adapté par PAN M 360.