classique

Festival Classica: Der Kaiser von Atlantis

par Rédaction PAN M 360

Der Kaiser von Atlantis s’affirme comme un opéra de chambre expressionniste captivant, mêlant habilement l’ironie et la poésie pour critiquer les ténèbres du totalitarisme. Au sein d’un monde ravagé par la folie tyrannique de l’empereur d’Atlantis, ce drame allégorique d’une puissance indéniable propose une réflexion poignante sur la nature de l’autorité, de la vie et de la mort, le tout soutenu par une musique et une dramaturgie d’une intensité exceptionnelle. Avec sept chanteurs et quinze musiciens, cette œuvre majeure du XXe siècle transcende l’unique statut d’opéra; c’est un voyage musical et philosophique, une expérience d’une beauté saisissante à ne pas manquer.

Der Kaiser von Atlantis is a captivating expressionist chamber opera, skilfully blending irony and poetry to criticize the darkness of totalitarianism. Set in a world ravaged by the tyrannical madness of the Emperor of Atlantis, this allegorical drama of undeniable power offers a poignant reflection on the nature of authority, life and death, all underpinned by music and drama of exceptional intensity. With seven singers and fifteen musicians, this major work of the twentieth century transcends the unique status of opera; it is a musical and philosophical journey, an experience of striking beauty not to be missed.


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Ce contenu provient du Festival Classica et est adapté par PAN M 360.

classique persan / électro arabe / électronique

(REPORTÉ) Niyaz : « The Fourth Light »

par Alain Brunet

La facture de Niyaz se fonde sur l’intégration de chants traditionnels et sacrés à une esthétique actuelle. La lutherie décrit bien la connexion Orient-Occident : claviers, guitares, outils numériques, ordinateurs, santour, saz, kaval, kopuz, bendir, riqq, kanun, tabla, sarod.

Fondé en 2005, Niyaz est un groupe constitué autour de Azam Ali (voix, percussions et santour) et de Loga Ramin Torkian (multi-instrumentiste). Rappelons que le couple d’origine iranienne et leur enfant ont résidé à Montréal au cours de la précédente décennie, puis regagné la Californie où ils vivaient auparavant. 

Enregistré entre Montréal et Istanbul, l’album The Fourth Light, dont il est ici question, est constitué de chansons originales du tandem, auxquelles s’ajoutent des pièces turques, afghanes et iraniennes. Les chansons s’inspirent aussi de Rabia Al Basri, poétesse et ascète soufie du VIIIe siècle. The Fourth Light fut lancé en 2015 et, cinq ans plus tard, Niyaz vient en interpréter la matière, actualisation en prime. 

Le site web du Théâtre Outremont nous rappelle que « The Fourth Light est un spectacle multimédia, conçu par Jérôme Delapierre, où les luths orientaux se déploient dans une instrumentation électroacoustique et où l’éclairage et la scénographie se combinent à la  danse de Tanya Evanson, l’une des rares danseuses derviches.»

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