pop

Dean Lewis à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Un épilogue suit le chapitre final d’une histoire. Plutôt que de conclure le récit une fois pour toutes, l’épilogue évoque ce que l’avenir pourrait réserver aux personnages. À la suite de son succès mondial sans précédent, de critiques élogieuses et de tournées à guichets fermés, Dean continue d’écrire et jouer ses chansons avec vulnérabilité, intensité et enthousiasme. Par conséquent, The Epilogue représente à la fois la culmination d’un parcours incroyable jusqu’à maintenant et un présage de ce qu’il pourrait accomplir prochainement. « Mon premier album était plutôt brut », estime Lewis. « Pour le deuxième, j’étais un peu plus prudent et attiré vers la pop, mais les chansons étaient significatives pour moi. Sur ce disque, j’ai recommencé à être plus brut et plus acoustique. Je souhaitais retrouver cette simplicité. Je savais ce que je voulais entendre, alors j’ai embrassé ce qui rendait le premier album spécial. »

An epilogue follows the final chapter of a story. Rather than concluding the story once and for all, the epilogue hints at what the future might hold for the characters. In the wake of his unprecedented worldwide success, rave reviews and sold-out tours, Dean continues to write and perform his songs with vulnerability, intensity and enthusiasm. As a result, The Epilogue represents both the culmination of an incredible journey so far, and a harbinger of what he may achieve in the near future. « My first album was pretty raw, » says Lewis. « For the second, I was a little more cautious and drawn towards pop, but the songs were meaningful to me. On this record, I went back to being rawer and more acoustic. I wanted to get back to that simplicity. I knew what I wanted to hear, so I embraced what made the first album special.

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hard rock / heavy metal / metalcore

Bullet for My Valentine et Trivium à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Les pionniers du heavy métal Bullet for My Valentine et Trivium annoncent leur tournée « The Poisoned Ascendancy ». La tournée célébrera les albums des deux groupes — « The Poison » de Bullet for My Valentine et « Ascendancy » de Trivium — qui célèbrent leur 20e anniversaire en 2025. Chacun des albums sera joué dans son intégralité durant cette tournée.

Heavy metal pioneers Bullet for My Valentine and Trivium announce their “The Poisoned Ascendancy” tour. The tour will celebrate both bands’ albums – Bullet for My Valentine’s “The Poison” and Trivium’s “Ascendancy” – as they celebrate their 20th anniversaries in 2025. Each album will be played in its entirety during the tour.

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gothique / post-punk / rock alternatif

Nick Cave & The Bad Seeds à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Nick Cave & The Bad Seeds ont annoncé une tournée nord-américaine au printemps en soutien à leur nouvel album Wild God. Cette tournée marque les premiers spectacles en Amérique du Nord du groupe légendaire depuis 2018. Réputés pour leurs performances exaltantes et inoubliables, les Bad Seeds sont largement considérés comme l’un des groupes live les plus palpitants au monde, avec une setlist couvrant quatre décennies d’une impressionnante production créative.

Nick Cave & The Bad Seeds have announced a spring North American tour in support of their much lauded new album Wild God. This run marks the legendary band’s first North American shows since 2018.Renowned for their exhilarating and unforgettable performances, The Bad Seeds are widely regarded as one of the most thrilling live bands in the world, with a setlist spanning four decades of impressive creative output.

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house / latino

J Balvin à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

La superstar mondiale J Balvin s’apprête à enflammer les scènes d’Amérique du Nord avec sa tournée 2025 « Back to the Rayo ». Cette tournée très attendue présentera son spectacle électrisant dans 27 villes des États-Unis et du Canada. Les fans auront la chance de découvrir les hits inoubliables de J Balvin, sa présence scénique pleine d’énergie et sa conception innovante du spectacle, ainsi que les morceaux de son nouvel album Rayo, acclamé par la critique, qui est non seulement devenu une sensation mondiale, mais qui a consolidé sa position en tant qu’artiste le plus écouté au monde.

Global superstar J Balvin is set to ignite stages across North America with his 2025 « Back to the Rayo » Tour. This highly anticipated tour will bring his electrifying live performance to 27 cities across the U.S. and Canada. Fans will get the chance to experience J Balvin’s unforgettable hits, high-energy stage presence, and innovative show design, along with tracks from his critically acclaimed new album Rayo, which has not only become a global sensation but has solidified his position as one of the most-streamed artists in the world.

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pop-opéra

Il Volo à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Il Volo est l’un des trios italiens les plus célèbres au monde. Les voix extraordinaires de Piero Barone, Ignazio Boschetto et Gianluca Ginoble ont captivé le public sur tous les continents. Avec une carrière pleine de succès, ils ont collaboré avec les plus grandes stars internationales et rempli des arènes dans le monde entier, publiant un total de 13 albums – le dernier, « Ad Astra », sorti le 29 mars par Epic Records/Sony Music Italy. 2024 est une année importante pour le trio. Célébrant leur 15e anniversaire, ils participent au festival de Sanremo avec Capolavoro, une chanson du disque d’or figurant sur l’album Ad Astra. Après avoir débuté à guichets fermés au Theatre Royal Drury Lane de Londres le 6 octobre, Gianluca, Ignazio et Piero ont entamé leur tournée d’automne dans les principales capitales européennes, enregistrant également plusieurs dates à guichets fermés. En 2025, ils reprendront leur musique à l’échelle mondiale avec une tournée mondiale à travers les États-Unis, le Canada et l’Amérique latine.

Il Volo is one of the most famous Italian trios in the world, having captivated audiences on every continent with the extraordinary voices of Piero Barone, Ignazio Boschetto and Gianluca Ginoble. With a career full of successes, they have collaborated with the biggest international stars and filled arenas worldwide, releasing a total of 13 albums – the latest, “Ad Astra,” released March 29 by Epic Records/Sony Music Italy. 2024 marks a significant year for the trio. Celebrating their 15th anniversary, they partecipated in Sanremo Festival with Capolavoro, a Golden Disc song featured on the album Ad Astra. With a sold-out start at the Theatre Royal Drury Lane in London on October 6, Gianluca, Ignazio, and Piero began their fall tour across major European capitals, also recording several sold-out dates. In 2025, they will take their music worldwide again with a World Tour across the USA, Canada, and Latin America.

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alt-rock / art-rock / post-grunge

Our Lady Peace à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Afin de célébrer ses 30 ans de carrière, l’emblématique groupe rock canadien Our Lady Peace (OLP) a annoncé sa très attendue tournée OLP30, qui débutera en février 2025 avec des concerts à travers le Canada. Arrivant après la parution de OLP30 Vol. One — qui inclut le nouvel extrait « Sound The Alarm » — cette tournée sera un puissant hommage à l’héritage de trois décennies de la formation et une expérience inoubliable pour les fans de longue date et les plus jeunes.

To celebrate their 30-year career, iconic Canadian rock band Our Lady Peace (OLP) have announced their highly anticipated OLP30 tour, which kicks off in February 2025 with concerts across Canada. Coming on the heels of the release of OLP30 Vol. One – which includes the new single “Sound The Alarm” – this tour will be a powerful tribute to the band’s three-decade legacy and an unforgettable experience for long-time fans and younger alike.

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alt-rock / Indie

Mother Mother à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Le groupe rock alternatif canadien Mother Mother a annoncé qu’il retournera sur la route en 2025 et effectuera de nouveaux arrêts à travers le Canada afin de faire la promotion de son plus récent album, Grief Chapter. Grief Chapter marque le début d’un nouveau chapitre de l’histoire en constante évolution de Mother Mother, qui peut compter sur un bassin de jeunes admirateurs passionnés qui ont naturellement créé une communauté inspirée par les chansons du groupe. Musicalement, les 12 chansons de Grief Chapter sont parmi les plus dynamiques de la formation.

Canadian alternative rock band Mother Mother has announced that it will return to the road in 2025, making further stops across Canada to promote its latest album, Grief Chapter. Grief Chapter marks the beginning of a new chapter in the ever-evolving story of Mother Mother, who can count on a pool of passionate young fans who have naturally created a community inspired by the band’s songs. Musically, the 12 songs on Grief Chapter are among the band’s most dynamic.

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indie rock / Musiques du Monde / pop baroque / psychédélique

Vampire Weekend à la Place Bell | Aguerris et généreux

par Sami Rixhon

Ezra Koenig et sa bande de vampires foulaient le sol québécois pour la première fois depuis cinq ans ce mercredi alors que le groupe présentait au public de la Place Bell son fantastique nouvel album, Only God Was Above Us. Vampire Weekend a parfaitement pioché pendant plus de deux heures dans ses différentes époques pour démontrer l’immense palette musicale qu’il est capable de concevoir.

Quatre jours après avoir reçu la mythique PJ Harvey, le public de la Place Bell a été gâté de nouveau par de talentueux artistes alternatifs américains, j’ai nommé le trio new-yorkais Vampire Weekend.

Le set commence aux alentours de 20h20 d’une manière assez classique avec Campus, Boston (Ladies of Cambridge) et One (Blake’s Got a New Face), toutes tirées de leurs années 2007/2008. Le trio se trouve devant un rideau sur lequel on peut lire le nom du groupe sobrement écrit blanc sur noir, jusqu’à ce que… eh bien jusqu’à ce que le rideau tombe sur l’apothéose du morceau Ice Cream Piano et dévoile quatre autres musiciens, un décor rappelant le réacteur d’un avion à l’arrière de la scène et une autre série de projecteurs. On se doutait un peu au fond de nous que la performance n’allait pas être aussi conventionnelle pendant l’entièreté du spectacle. Un tel effet en concert, c’est toujours un grand oui.

Vampire Weekend présente des succès de ses quatre premiers albums (Vampire Weekend, Contra, l’excellent Modern Vampires of the City et Father of the Bride), mais s’attarde naturellement à sa dernière offrande, Only God Was Above Us, sortie il y a un peu plus de cinq mois. Au total, neuf des 10 chansons de l’opus seront interprétées. Parlons de l’album, d’ailleurs : après un virage un peu plus pop « classique » avec Father of the Bride en 2019, les Vampires s’offraient cette année un retour aux sources à base d’indie rock, de pop baroque, de shoegaze, de rythmes latin et caraïbéens… name it. Un bijou qui s’écoute d’une traite, et mon album de l’année, personnellement.

Koenig est un excellent frontman, pas le plus expressif dans ses mouvements ou son attitude, mais il fait exactement ce qu’on lui demande dans le cas de Vampire Weekend : exceller dans tous les styles. D’abord sentimental sur Unbearably White, mais aussi réfléchi sur Mary Boone ou encore puissant sur Capricorn. Pour proposer toute la richesse musicale des morceaux sur scène, les musiciens se déplacent d’instrument en instrument, dont Ezra Koenig qui se paiera un solo de saxophone sur la déjanté New Dorp. New York. Des multi-instrumentistes comme on en voit de moins en moins aujourd’hui. À mon humble avis, Vampire Weekend est certainement l’un des groupes les plus talentueux et novateurs de la scène alternative depuis 2008, année de leurs débuts discographiques.

Entre deux morceaux, le meneur de Vampire Weekend s’adresse à une fan du groupe de 9 ans dans le parterre en apprenant que c’est son premier concert, lui remerciant d’être venue. Il profite également de l’occasion pour saluer les gens de Laval, mais surtout ceux de Montréal, sachant que la Place Bell n’est pas particulièrement remplie d’habitants de la Rive Nord (sachant aussi qu’ils ne se trouvent pas à Montréal en ce moment, simplement). Ce sont des petites attentions, des petits détails comme ça qui confirment que le groupe ne passe pas complètement sur le pilote automatique pendant une tournée.

Après deux heures de concert, Vampire Weekend clôt la partie régulière de son spectacle sur Hope. Les membres quittent un à un la scène, jusqu’à ce que le bassiste du groupe, Chris Baio, joue les dernières notes, seul face au public.

En rappel, Vampire Weekend propose un exercice pour le moins original et périlleux : prendre n’importe quelle requête de chansons qui n’ont pas été écrites par Vampire Weekend. Ça passe de Don’t Look Back in Anger à Chop Suey!, sans oublier So Long Marianne, Man! I Feel Like a Woman! ou encore I’m Still Standing. Les interprétations sont chaque fois hasardeuses, Koenig avouant une chanson sur deux que la moitié du groupe n’en connaît pas les accords. Une clôture amusante et pleine de bonne volonté.

À la prochaine, chers Vampires.

LISTE DES CHANSONS AU PROGRAMME

1. Campus
2. Boston (Ladies of Cambridge)
3. One (Blake’s Got a New Face)
4. Ice Cream Piano
5. Classical
6. Connect
7. White Sky
8. Step
9. This Life
10. Sympathy
11. New Dorp. New York (reprise de SBTRKT)
12. The Surfer
13. Unbearably White
14. Oxford Comma
15. Capricorn
16. Gen-X Cops
17. Diane Young
18. Cousins
19. A-Punk
20. Prep-School Gangsters
21. Mary Boone
22. Obvious Bicycle
23. Harmony Hall
24. Hope

RAPPEL

1. Tempted (reprise de Squeeze)
2. Don’t Look Back in Anger (reprise d’Oasis)
3. So Long Marianne (reprise de Leonard Cohen)
4. Here Comes Your Man (reprise des Pixies)
5. Chop Suey! (reprise de System of a Down)
6. How You Remind Me (reprise de Nickelback)
7. Dangerous Night (reprise de The Night Is a Knife)
8. The Boys Are Back in Town (reprise de Thin Lizzy)
9. Man! I Feel Like a Woman! (reprise de Shania Twain)
10. You’re Still the One (reprise de Shania Twain)
11. I’m Still Standing (reprise d’Elton John)
12. This Must Be the Place (Naive Melody) (reprise de Talking Heads)
13. Walcott

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avant-rock

Polly Jean Harvey à la Place Bell

par Alain Brunet

Considérée par les mélomanes comme faisant partie d’une classe à part, la géniale Britannique a sorti en 2023 I Inside the Old Year Dying, son 10e album studio, on imagine que ce sera la matière principale de l’escale montréalaise à la Place Bell. L’expression, l’instrumentation, le mélange des genres à base de rock, l’excellence du personnel, le génie créateur de l’employeure. PJ Harvey n’est pas une pop star autant qu’on le croirait, elle touche surtout l’aile gauche de la mélomanie, et c’est pourquoi il reste encore des billets pour la représentation de samedi, hautement recommandable.

INFOS ET BILLETS ICI

Considered by music lovers to be in a class of her own, the brilliant Briton released I Inside the Old Year Dying, her 10th studio album, in 2023, and we imagine this will be the main subject of the Montreal stopover at Place Bell. The expression, the instrumentation, the rock-based genre mix, the excellence of the personnel, the creative genius of the employee. PJ Harvey isn’t as much of a pop star as you’d think; she appeals mainly to the left wing of music lovers, which is why tickets are still available for Saturday’s highly recommended performance.

opéra rock

Starmania : la tentation d’exister

par Claude André

Dans sa toute dernière mouture, l’opéra-rock postmoderne hybride que Michel Berger et Luc Plamondon créèrent en 1978 trouve un souffle nouveau grâce à une relecture du livret et une époustouflante mise en scène.

À l’heure où pleuvent les bombes et que se multiplient dans le monde les attentats terroristes, un personnage façonné par la télé pourrait redevenir « président de l’univers » avec l’aide d’un magnat des réseaux sociaux, la dystopie starmanienne se vérifie plus que jamais.

Ajoutez à cela des zonards désœuvrés et violents, un peuple asservi à coup de fausses nouvelles et des marginaux nihilistes qui se posent des questions existentielles sur le sens de la vie et de l’amour non conventionnel, et vous avez tous les ingrédients qui cristallisent la société actuelle, représentée par le destin croisé de huit personnages dont sept vont mourir dans une métropole faite de gratte-ciels où les gens sont obsédés par la célébrité et la radicalité.

« Proposer une narration lisible, par-delà de la vie autonome que les chansons ont acquises en 40 ans de succès (…). Remettre à jour ce livret, certes visionnaire, mais toujours très parlant aujourd’hui en travaillant sur l’ordre des chansons, les transitions, en faisant réapparaitre un personnage disparu depuis la première version (le gourou)… »

C’est ce qu’a voulu faire le metteur en scène Thomas Joly, celui à qui l’on doit la grandiose et provocante ouverture des JO de Paris, en utilisant, notamment, une approche multimédia inspirée parfois du cinéma direct.
Pour parvenir à capturer la substantifique moelle de l’œuvre sur le plan émotionnel, avant que le succès éclatant des diverses versions ne la dilue, que ce soit pour une note ici ou un tempo-là, cette nouvelle mouture a été inspirée par la partition manuscrite du regretté Michel Bernholc, arrangeur de la version originale.

Du point de vue visuel, grâce à une machinerie ambitieuse, à des costumes flamboyants et à une architecture lumineuse à la fois captivante et sophistiquée, la plupart des chansons qui accompagnent nos vies depuis des décennies en ressortent sublimées.

La plupart? Il faut le dire, certaines pièces nous semblent plus ternes au regard du bouquet d’immortelles que contient l’œuvre et qui peuvent ralentir le rythme.

Aussi, si l’auteur old school de ces lignes cherchait parfois avec une certaine nostalgie la fougue de Balavoine dans Quand on arrive en ville, ou la posture charismatique et moqueuse de Dubois dans le fameux Blues du businessman ou encore la désespérance contagieuse de Fabienne Thibault dans Le monde est stone, il faut se rendre à l’évidence : les interprètes d’aujourd’hui tiennent largement la dragée haute et marqueront fort probablement les jeunes générations à l’image de leurs prédécesseurs, bien que nous aurions pu espérer une plus grande variété de tonalité dans le choix des voix féminines.

Malgré ce bémol et une acoustique qui fit se fracasser certaines rimes dans l’aréna qu’est originellement la Place Bell, ce spectacle généreux qui dure trois bonnes heures, dont vingt minutes d’entracte, et dans lequel se déploie une trentaine de chanteurs, danseurs et musiciens, s’avère à nos yeux l’ultime version de ce désormais cultissime opéra-rock.

Crédit Photo: Anthony Dorfmann

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hip-hop / rap

Peso Pluma à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

Né et élevé à Guadalajara, au Mexique, Peso Pluma ouvre la voie à la prochaine génération d’artistes mexicains. Ce jeune artiste en devenir s’est fait un nom grâce à son style inégalé et à son authenticité. S’inspirant de divers genres musicaux, dont le Regional Mexican et le Latin Urban, Peso Pluma réinvente le genre avec sa voix sulfureuse et ses sonorités éclectiques.

Born and raised in Guadalajara, Mexico, Peso Pluma is paving the way for the next generation of Mexican artists. The young up-and-comer has been making a name for himself with his unparalleled style and authenticity. Drawing inspiration from a variety of musical genres including Regional Mexican and Latin Urban, Peso Pluma is reinventing the genre with his sultry vocals and eclectic sounds.

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rock alternatif

Young the Giant à la Place Bell

par Rédaction PAN M 360

De la tranquillité légèrement troublante de « Islands » à l’envolée captivante du thème de la transition dans « Apartment », la musique de Young the giant passe de refrains novateurs à des mélodies percutantes et vice-versa, rendant leur premier effort non seulement captivant, mais aussi envoûtant. À ce jour, le groupe a reçu d’innombrables récompenses en tant que « groupe à suivre » de la part d’organismes tels que le New York Times, Spin et Nylon, pour n’en citer que quelques-uns, et a été sélectionné par MTV en tant qu’artiste « Push » et « Freshman 5 ». Avec « My Body », le premier single de l’album, qui a atteint la quatrième place des charts Modern Rock aux États-Unis et la première place des charts Rock au Canada, tout en atteignant plus de 1,3 million de vues sur YouTube, et « Cough Syrup » qui commence tout juste son ascension radiophonique, il y a indéniablement quelque chose de spécial à propos de ce groupe.

From the slightly unnerving tranquility of “Islands” to the captivatingly up-tempo take on the theme of transition in “Apartment,” Young the giant’s music ebbs and flows from innovative refrains to heavy-hitting melodic smashes and back again, making their debut effort not only engaging, but entrancing. To date, the band has received innumerable “Band To Watch” accolades from outlets like The New York Times, Spin and Nylon to name a few, and were selected by MTV as both a Push and Freshman 5 artist. And, with “My Body,” the first single off the album which hit #4 on the Modern Rock charts in the U.S. and #1 on the Rock charts in Canada while reaching over 1.3 million YouTube views and “Cough Syrup” just beginning its radio ascent, there’s something undeniably special about this band.

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