Hip Hop / rap / soul/R&B

PAN M 360 au FIJM 2024 | Erick the Architect, visite guidée à Brooklyn

par Jacob Langlois-Pelletier

« Puis-je vous emmener à Brooklyn ce soir ? » Voilà les premiers mots du rappeur, chanteur et producteur américain, Erick The Architect, lors de son entrée au Club Soda. Vendredi soir au FIJM, le tiers de l’iconique groupe new-yorkais Flatbush Zombies a transporté la foule au cœur de son histoire familiale et la réalité de son quartier d’enfance, tout en naviguant avec finesse entre hip-hop, rap, R&B, soul et dancehall.

En visite à Montréal pour y présenter I’ve Never Been Here Before, son premier album solo paru plus tôt cette année, « the Architect » a fait régner un climat de nostalgie dès les premiers instants. Du début à la fin, différentes projections d’archives de toutes sortes défilent derrière lui, allant d’une vielle partie de football à des extraits de l’émission Les Simpson, en passant par des enregistrements de jeux vidéo auxquels il jouait lorsqu’il n’était pas plus haut que trois pommes.

Un certain fil narratif conduit le spectacle: le MC discute pendant plusieurs minutes d’un membre de sa famille, enfile quelques morceaux qui y sont liés, puis répète le tout. Ainsi, les gens présents auront fait la connaissance de ses frères, sa mère, son père et même son chat.

Pourquoi l’artiste de 35 ans nous raconte-t-il tout ça? C’est simple: son entourage a façonné la musique qu’il fait aujourd’hui, que ce soit par l’amour de James Brown de la maternelle ou l’intérêt marqué de ses frangins pour le collectif Wu-Tang Clan. Les mordus de son œuvre auront certainement été séduits par les nombreuses anecdotes du rappeur, alors que les curieux diront que le rythme de la soirée en fut affecté.

Quoi qu’il en soit, les amateurs et amatrices présentes en auront eu pour leur argent vu la qualité des interprétations d’Erick the Architect, et ce pendant près de 120 minutes. Accompagné d’une DJ ainsi qu’une musicienne alternant entre clavier et basse, le rappeur a livré avec passion chacune des rimes de son dernier opus, tout en ayant une technique impeccable. Difficile de donner une performance plus juste, tout y était.

Ce qu’on retient le plus de son passage est sans aucun doute sa grande versatilité. Ça semble si facile pour l’architecte de voyager à travers ses différentes influences musicales, allant d’un morceau trap comme Parkour à l’excellente Breaking Point, une ballade pop envoûtante.

Près de deux heures après être monté sur scène, l’icône du rap psychédélique a conclu avec son succès disco Candle Flame, pièce collaborative avec le groupe soul-funk britannique Jungle. « Ce morceau vous fera danser et brûler les calories de vos poutines! », a-t-il lancé, sourire aux lèvres.

I’ve Never Been Before, à défaut de me répéter, est l’une des offrandes hip-hop les plus complètes et intéressantes à avoir été dévoilées depuis le début 2024. Nul doute, Erick the Architect est en train d’ériger de superbes fondations à sa carrière solo.  

Crédit photo: Productions Novak

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Chanson francophone / folk / pop

Aliocha Schneider aux Francos | Paysage de la Grèce, chaleur de Montréal

par Jacob Langlois-Pelletier

Mardi soir, l’auteur-compositeur-interprète et acteur franco-canadien, Aliocha Schneider, a transformé le Club Soda en une immense plage ensoleillée, où il fait bon vivre et tout est si simple. De retour pour quelques jours d’une série de spectacles en France, l’artiste de 30 ans a eu droit à un accueil des plus chaleureux lors de cette première de deux soirées aux Francos.

Après une première partie assurée par la talentueuse Rosie Valland, c’est au tour du principal intéressé de monter sur scène. Pour débuter, il s’amène seul, guitare à la main, puis présente Flash in the Pan, morceau provenant de son premier EP Sorry Eyes paru en 2016. Toutes les lumières sont rivées vers lui et la salle est plongée dans l’obscurité; on saisit tout de suite l’ambiance intimiste que souhaite y installer le chanteur.

« Il y a un an, je n’aurais jamais pensé avoir un Club Soda rempli devant moi. J’ai l’impression que c’est le début de quelque chose entre nous, et j’aime ça », dit-il avant de lancer les premières notes de Suspendus, la deuxième de la soirée.

Si Aliocha nous a transportés sur le bord de la mer aux Francos, il s’agit probablement aux abords de la Méditerranée en Grèce, là où il a écrit la plupart des titres de son album homonyme paru en septembre dernier, son troisième en carrière et premier en français. C’est d’ailleurs en majorité du matériel issu de son plus récent projet qu’il a offert à son public, allant de la superbe ballade pop L’Océan des Amoureux à Mexico, un air de bossa nova servant de fermeture à son dernier projet.

Outre les premiers instants de la soirée, Schneider est accompagné d’arrangements simples, mais efficaces de son band formé d’un claviériste, un bassiste et un batteur. Sur scène, le protégé de Jean Leloup est décontracté, authentique et multiplie les interventions avec le public.

La superbe réception de la foule est une énième preuve du lien particulier qu’entretiennent Aliocha et le public québécois. Pour plusieurs, la série télé québécoise Tactik a été leur première rencontre avec l’artiste, lui qui incarnait le personnage du jeune footballeur Carl Bresson. Au fil des années, le Québec l’a vu grandir sous ses yeux, autant en tant qu’acteur que musicien. Ce sentiment de voir un proche s’épanouir et trouver sa voie, c’est ce qui rend cette relation si spécial.

Après l’enfilade de morceaux Julia et Avant Elle, le parolier quitte la scène pour y revenir avec une invitée surprise, son amoureuse Charlotte Cardin. Il n’en fallait pas plus pour que la foule explose et se fasse plus bruyante que jamais. Après une excellente reprise de Rêver Mieux de Daniel Bélanger, les deux tourtereaux ont interprété, Ensemble, chanson abordant les difficultés des relations à distance, plus particulièrement de la leur. Ils s’échangent les regards et leur amour est contagieux; impossible de demander de mieux qu’un tel moment pour clore cette soirée.

Vers la fin mai sur ses réseaux sociaux, Aliocha Schneider annonçait que son spectacle prévu décembre prochain au mythique Olympia à Paris était déjà complet. Pas surprenant que sa pop langoureuse connaisse un tel succès en Europe; sa poésie est bien ficelée et rien n’y est laissé au hasard. Chapeau à lui pour cette transition francophone réussie.

Crédit photo : gracieuseté de Ludovic Rolland-Marcotte, @ludovicphotographie

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hip-hop

Yamê aux Francos de Montréal: un pari réussi !

par Sandra Gasana

Arrive sur scène celui que tout le monde attend, Yamê !!! Vêtu de rouge de la tête au pied, un pull sans manche et un pantalon en cuir, on entend d’abord des chœurs mais sans choristes sur la scène. Ensuite, sa voix résonne seule, puis elle est accompagnée par son clavier, également de couleur rouge.

Il ouvre le bal avec son tube Ayo Mba, que toute la salle connaît par cœur. D’abord juste avec le clavier, puis la batterie de Daryl embarque quelques minutes après. Le public est déjà en feu alors que nous ne sommes qu’au premier morceau. Les applaudissements semblent interminables. 

Il s’éloigne de son clavier le temps de la chanson Lowkey  et se met plus à l’aise pour danser en chantant, avec les influences africaines dans cette chanson.

Avant de jouer un morceau, il fait du storytelling afin d’expliquer le contexte et tente de le faire avec des anecdotes marrantes. 

« Je sais pas à Montréal comment ça se passe, mais à Paris, y a un truc que je kiffe quand même, ce sont les jam sessions », avant de jouer quelques notes au piano pour introduire ses musiciens, Romain et Daryl, et expliquer le concept des jam sessions. Et sans transition, il poursuit avec Business dans lequel il fait chanter l’audience. 
L’énergie monte considérablement lorsqu’il chante les premières notes de Call of Valhalla, que ma voisine dans la soixantaine connaissait par cœur. Il quitte de nouveau son clavier pour sauter sur scène devant un public en feu. « D’habitude on est plus nombreux sur scène mais à cause des billets d’avion et tout, on n’est pas aussi nombreux », confie-t-il, ce qui explique les voix des choristes qui ont été enregistrées pour combler leurs absences.

Il s’amuse avec son batteur en improvisant des sons devant lui, qu’il reprend à la batterie, le tout en s’éclatant et en rigolant.
« Tous les projets d’Elowi ont commencé avec un piano-voix », nous apprend-il, avant de nous feinter avec une reprise de Isn’t she lovely, qu’il abrège tout de suite en avouant qu’il ne connaît pas les paroles. Le public est mort de rire. Et il opte plutôt pour Kodjo, qu’il interrompt en plein milieu pour raconter une blague, et poursuivre comme si de rien était. On voit bien dans son show l’influence de l’improvisation, rien n’est coulé dans le béton, tout est malléable.

Autre moment fort du spectacle, sa reprise inégalable de La Bohème, de Charles Aznavour, que tout le monde chante, sans exception. 

Il poursuit avec La Maille, seul au piano, puis avec ses musiciens qui prennent le relai pour Carré d’as, sur lequel il s’éclate sur scène. Cela lui a valu de longs applaudissements. « Je crois qu’ils sont très chauds là », dit-il au batteur.

L’apothéose du show était bien entendu durant Bécane, et encore une fois, on avait l’impression que la salle s’était transformée en grosse chorale, malgré l’absence des choristes. Il a profité de ce moment pour enchainer avec Bahwai pour garder le momentum, avec quelques pauses de batterie par moments. « Il m’a dit que le solo était trop long. Bon, c’était la dernière, ça va, fallait bien qu’on s’amuse un peu ! », ajoute-t-il en parlant de son musicien.

Belle façon de clôturer que d’avoir choisi Quête, qui ramène la touche afro à son concert et sur lequel le public s’est lâché. Bien sûr, on a eu droit à un petit rappel, Bécane, dans une version quelque peu différente de la première. « Merci Montréal d’être venu ce soir », conclut-il.
Avant de partir, j’ai dû demander à ma voisine dans la soixantaine comment elle avait entendu parler de Yamê. « C’est mon fils qui m’a fait découvrir cet artiste, et comme j’ai une moto, à chaque fois que je suis dessus, je mets la musique de Yamê à fond, surtout Bécane », me confie-t-elle. C’est ça Yamê, du plus jeune enfant aux grands-parents, tout le monde y trouve son compte.

C’est la chanteuse française Anaïs Mva qui a assuré la première partie du concert de Yamê aux Francos de Montréal, accompagnée uniquement de son guitariste. Très timide, elle interagissait furtivement avec le public, valsant entre des morceaux mélancoliques, comme Corps inerte et de la pop à la française. « Je suis contente d’être avec vous. On m’avait dit que vous étiez sympas mais là, je le vois en vrai », constate-t-elle.

Elle fait une reprise originale de Hey Ya!, d’Outkast, et invite le public à chanter avec elle. Elle termine avec la chanson XS, qui fait référence aux standards de beauté et les pressions que ça engendre sur les filles.

Photo gracieuseté des Francos

folk / pop / rap

Francos : Tendances Brasseur de Montréal – Lary Kidd, Yamê, Aliocha Schneider, Canicule, Breastfeeders…

par Rédaction PAN M 360

Les Francos de Montréal se dérouleront du 14 juin au 22 juin prochain. Pour l’occasion, La Presse présente la série de spectacles « Tendances Brasseur de Montréal ».

The Francos de Montréal run from June 14 to June 22. For the occasion, La Presse presents the “Tendances Brasseur de Montréal” series of shows.

  • Aliocha Schneider – Mercredi 19 juin 2024
  • Zaho – Vendredi 21 juin 2024
  • Canicule – Samedi 22 juin 2024
  • Les Breastfeeders – Samedi 22 juin 2024

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Ce contenu provient des Francos et est adapté par PAN M 360.

pop / punk / techno

Little Big @ Club Soda – Montréal

par Patrice Caron

Little Big s’est fait connaitre sur internet par ses vidéoclips visuellement déjantés, son humour acerbe et sa critique sociale, disons-le, punk. Le tout enrobé dans une pop électro qui peut sembler inoffensive mais qui fait son pain et son beurre à pervertir les apparences. Et difficile de se méprendre sur le discours grâce aux vidéoclips (qui comptent plus de 70 millions de vues pour certains.)

Çeci explique la composition particulière du public pour ce concert qui affichait complet depuis quelques temps. Des étudiants clubbers aux vieux punks qui boivent de la IPA, chacun y trouve son compte, même Little Big, qui semblait surpris et heureux de l’accueil que lui a réservé Montréal.

Aucune première partie, le DJ se présente seul sur scène et ça démarre sur un 10 cenne. Ilya « Ilich » Prusikin arrive en tourbillonnant et c’est parti pour 90 minutes dans le tapis. Sonya Tayurskaya s’avance et surprise, elle est très enceinte, mais Ilich va compenser amplement en se démenant sur scène, la composition visuelle jouant sur la lascivité de Tayurskaya et l’énergie punk de Ilich, soutenu par le DJ qui vient au-devant de la scène, monte sur sa table, fait de la hype, bref, ça bouge et il y a toujours quelque chose à voir. Mais ce qui m’a le plus diverti, ce sont les chorégraphies. Judicieusement placées dans la setlist, elles n’étaient pas omniprésentes mais quand elles se passaient, l’effet sur le public était palpable. Il y a bien sûr la célèbre danse de Skibidi, mais même lors de leur reprise de Blitzkrieg Bop des Ramones, on a droit à quelques mouvements synchronisés et l’intensité de la salle a monté d’un cran.

Pour la musique, on a droit à un genre d’euro-rave punk qui fait son effet sur le plancher de danse. À la limite du gabber par moment, on a droit à du gros beat accompagnés de saturations aux sources diverses (piano, guitare, internet), avec un groupe capable de garder le rythme jusqu’à la fin et qui, sans écran ou éléments de scène, en met plein la vue et les oreilles tout au long du concert. À part quelques changements de costumes, Little Big a su mettre le public dans sa poche avec son énergie, son humour et une setlist parfaitement dosée. Pas que des hits mais presque, qui aurait pu aller bien au-delà si le groupe avait voulu, le public en redemandait jusqu’à la dernière goutte de sueur.

Avec l’énergie déployée durant ces 90 minutes, on peut comprendre que c’était le temps d’aller se reposer. Et à voir le sourire du groupe devant l’enthousiasme du public, on devrait les revoir dans un avenir pas si lointain, dans une plus grande salle probablement.

rock

Ty Segall au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Ty Segall, né le 8 juin 1987 à Laguna Beach, est un chanteur, guitariste et batteur américain. Multi-instrumentiste, il a fait de la guitare et la batterie ses instruments de prédilection, mais enregistre la grande majorité de ses albums seul. 

Ty Segall, born June 8, 1987 in Laguna Beach, is an American singer, guitarist and drummer. A multi-instrumentalist, he has made guitar and drums his instruments of choice, but records the vast majority of his albums alone.


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metal / metalcore

Kublai Khan TX au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Kublai Khan également Kublai Khan TX est un groupe américain de metalcore de Sherman, Texas, créé durant l’été 2009.

Kublai Khan also known as Kublai Khan TX is an American metalcore band from Sherman, Texas, formed in the summer of 2009.


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électro-pop

Zaho de Sagazan au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Zaho de Sagazan c’est une voix singulière et puissante, de celles qui font dresser nos poils. Un timbre grave porté par des rythmes électroniques qui côtoient la techno berlinoise et l’electronica française.

Passant des murmures aux cris, l’artiste de 21 ans s’amuse, se raconte et dissèque les travers humains sur des textes en français d’une sincérité tranchante. Ses mots, drapés de mélodies puissantes à la mélancolie subtile, nous plongent dans une intimité partagée, où l’on goûte à la délicieuse liberté de danser, de penser et de s’émouvoir.

Au côté de son batteur Tom Geffray, Zaho nous livre une Krautpop moderne inspirée de ceux qui l’ont fait danser tels que Koudlam ou Autumn. Côtoyant la folie de Catherine Ringer ou Brigitte Fontaine vient toujours le moment où elle retourne s’asseoir les yeux fermés à son piano, fidèle allié de ses créations.

Zaho de Sagazan has a singular, powerful voice, the kind that makes our hair stand on end. A deep timbre carried by electronic rhythms that blend Berlin techno and French electronica.
Moving from whispers to screams, the 21-year-old artist plays, tells and dissects human failings on lyrics in French of trenchant sincerity. Her words, draped in powerful melodies of subtle melancholy, plunge us into a shared intimacy, where we taste the delicious freedom to dance, think and move.
Alongside her drummer Tom Geffray, Zaho delivers modern Krautpop inspired by the likes of Koudlam and Autumn. Alongside the madness of Catherine Ringer or Brigitte Fontaine, there always comes a moment when she returns to sit with her eyes closed at her piano, the faithful ally of her creations.


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punk rock

Me First and the Gimme Gimmes au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Me First and the Gimme Gimmes, parfois abrégé Me First ou The Gimmes, est un supergroupe de punk américain, basé à San Francisco.

Me First and the Gimme Gimmes, sometimes abbreviated Me First or The Gimmes, is an American punk supergroup based in San Francisco.


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pop

Delia au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Delia Matache, née le 7 février 1982 à Bucarest, est une chanteuse, actrice et danseuse roumaine et fait partie du jury de l’édition roumaine de l’émission The X Factor. De 1999 à 2003, Matache a été membre du groupe pop N&D, au sein duquel elle s’est fait connaître pour la première fois dans son pays.

Delia Matache, born February 7, 1982 in Bucharest, is a Romanian singer, actress and dancer, and a member of the jury of the Romanian edition of The X Factor. From 1999 to 2003, Matache was a member of the pop group N&D, where she first made a name for herself in her homeland.


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rap emo

Aswell au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Phénomène de la streamosphère, l’artiste indépendant Aswell comptabilise déjà plus de 20 millions d’écoutes sur les plateformes d’écoutes en ligne, dont le titre Leaving qui cumule à lui seul près de 8 millions d’écoutes.

Du haut de sa jeune vingtaine, il a plus de 60 performances derrière la cravate dans les deux dernières années, et ce, aux 4 coins du Québec. On a pu le voir au Festif! de Baie-Saint-Paul, au FestiVoix de Trois-Rivières, aux Francos de Montréal ainsi que 2 soirs au Ministère de Montréal, à guichet fermé.

Aswell se sent fin prêt à présenter son tout premier album, Banlieue, sur la scène mythique Club Soda le 5 avril 2024. Accompagné de son DJ, de musiciens, ainsi que de plusieurs invités spéciaux dévoilés lors de la sortie de l’album le 16 février prochain, il abordera les thèmes de ce nouvel opus, en plus de revenir sur certaines de ses chansons fétiches de son catalogue dont Hard To Love, Leaving, Solo et Dead Summer.

Rappelant des artistes comme Juice Wrld, The Kid Laroi ou encore Lomepal, la musique d’Aswell se situe entre pop rap et émo rap. L’artiste utilise ainsi des mélodies et des flows chantés, rendant le projet accessible à un public très large. Le narratif assez introspectif, lui, est majoritairement centré sur des sujets comme l’échec amoureux, le regret et le vide existentiel.

A phenomenon of the streamosphere, independent artist Aswell has already racked up over 20 million listens on online listening platforms, including the track Leaving, which alone has racked up nearly 8 million listens.

In his early twenties, he has given over 60 performances across Quebec in the last two years. We’ve seen him at Festif! in Baie-Saint-Paul, FestiVoix in Trois-Rivières, Les Francos de Montréal and 2 sold-out nights at Le Ministère de Montréal.

Aswell feels ready to present his very first album, Banlieue, on the legendary Club Soda stage on April 5, 2024. Accompanied by his DJ and musicians, as well as several special guests unveiled when the album is released on February 16, he will discuss the themes of this new opus, as well as revisiting some of his favorite songs from his catalog, including Hard To Love, Leaving, Solo and Dead Summer.

Reminiscent of artists such as Juice Wrld, The Kid Laroi and Lomepal, Aswell’s music is somewhere between pop rap and emo rap. The artist uses melodies and sung flows, making the project accessible to a wide audience. The rather introspective narrative, meanwhile, is mostly centered on subjects such as failure in love, regret and existential emptiness.


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rap

Radio Radio au Club Soda

par Rédaction PAN M 360

Depuis 2007, Radio Radio enchaîne hit après hit. Le groupe a fait sa marque avec des airs accrocheurs mélangeant rap et électro. La prochaine tournée ne fera pas l’exception. Ce spectacle revisite et remixe les succès de Radio Radio, ainsi que les tubes provenant des projets solos des membres fondateurs, soit le premier disque de Gabio et le dernier de Jacobus tout récemment sortis. C’est le parfait mélange de nostalgie et de nouveauté. Accompagné de DJ UNPIER, leur présence scénique fort d’énergie promet de livrer des soirées festives inoubliables pour tous!

DJ UNPIER possède une énergie débordante et une intensité contagieuse sur scène. Réalisateur, entrepreneur, directeur artistique sa mission est de faire danser la foule et de révolutionner la musique électronique francophone, en la façonnant avec un son bien à lui. Se situant entre la Pop et la Bass House, DJ UNPIER crée un nouveau genre musical : le Keb House.

Since 2007, Radio Radio has been churning out hit after hit. The group has made its mark with catchy tunes mixing rap and electro. The upcoming tour will be no exception. This show revisits and remixes Radio Radio’s hits, as well as hits from the founding members’ solo projects, namely Gabio’s first record and Jacobus’ most recently released one. It’s the perfect mix of nostalgia and novelty. Accompanied by DJ UNPIER, their high-energy stage presence promises to deliver unforgettable party nights for all!

DJ UNPIER possesses boundless energy and contagious intensity on stage. Producer, entrepreneur and artistic director, his mission is to get the crowd dancing and revolutionize French electronic music, shaping it with a sound all his own. Falling somewhere between Pop and Bass House, DJ UNPIER has created a new musical genre: Keb House.


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